Cette fin de semaine, j’étais à Boston pour le congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS). En sont sortis trois comptes rendus, que vous pouvez lire sur le site de l’Agence Science Presse.
Cette fin de semaine, j’étais à Boston pour le congrès de l’Association américaine pour l’avancement des sciences (AAAS). En sont sortis trois comptes rendus, que vous pouvez lire sur le site de l’Agence Science Presse.
©Jacques Goldstyn, pour l’Agence Science-Presse
Chronique du 16 décembre sur CIBL.
La désinformation, il y en a partout y compris en science. Comment faire le tri? L’Agence Science-Presse vous suggère de faire appel à son Détecteur de rumeurs… scientifiques. Parce qu’on n’a pas attendu la campagne électorale américaine pour créer les fausses nouvelles. Il y en a beaucoup en science.
Né dans la foulée de la campagne #100LaScience, le Détecteur de rumeurs avait récolté 8000 $ auprès du public en mai dernier. Il vient d’obtenir du financement des trois fonds de recherche du Québec (santé, nature et technologie, société et culture) et du Bureau de coopération interuniversitaire. Bientôt, il y aura donc un journaliste scientifique à temps plein pour démystifier les nouvelles en science qu’on voit sur le web.